Atlético junior perdu contre le Medellín indépendant Dans le stade d’Atanasio Girardot et, manquant deux dates, il a été éliminé dans les circuits du tournoi d’ouverture de la Ligue colombienne.
À la fin du match, l’entraîneur César Farías était une conférence de presse où il a pris un équilibre entre la performance de son équipe, le travail d’arbitrage et son avenir dans l’équipe de requins.
Analyse de la défaite de Junior
“First we face a good rival who knew how to play the game and that in the small tasks did it well, then in the four games that we lead to the quadrangular we have made five mistakes that have ended in incredible goal, right? We play, we fight and we could not score, it is difficult to And a bad rejection ends in goal, those were the results of the five goals we received later, but that does not reach if you do not have the result does not reach if when you have so many possibilities Ne les mette pas et le football vous charge et nous a facturés des résultats. »
L’élimination est-elle un échec?
«C’est une question dans laquelle je n’ai pas l’obligation de répondre ici et ce n’est pas non plus pour moi. J’ai un contrat, je travaille, je me lève tous les jours avec le même désir. Gagner, cravate, je perds, je travaille toujours là-bas d’une manière ou d’une autre. Demain, je ne m’arrêterai pas avec la même initiative pour nous donner des jeux. erreurs d’arbitrage.
Les raisons de l’élimination de Junior
«Pour les autres questions, j’ai dit les circonstances que je considère de mon point de vue en ce moment rapide que je peux l’approfondir davantage. Parce que nous ne pouvions pas obtenir les résultats. J’aurai sûrement fait beaucoup d’erreurs et cela fait partie du football, mais nous n’avons sans aucun doute pas eu plus d’attention.
Ce qui suit pour Atlético Junior
«Nous jouons pour les points de l’accumulation (tableau de reclassification), pour notre honneur, pour notre fierté, nous ne sommes des juges de rien. Nous allons dans la rébellion que nous essayons de venir ici. Rival, mais ce n’est plus notre problème.
Sa continuité en junior
«C’est une bonne habitude du journaliste reformulaire afin que la personne interrogée revienne à une question à laquelle il ne répondra pas.